Votre navigateur ne supporte pas le javascript. La navigation risque d'être perturbée!
chargement

La FAQ de Sérénissime Conciergerie

Les réponses de Sérénissime Conciergerie à toutes les questions que vous vous posez sur la location courte durée et l'intérêt de recourir aux prestations d'une conciergerie pour gérer les entrées et sorties de locataires, le ménage et tous les imprévus qui peuvent survenir.

 

  • J’entends dire que l’immobilier touristique empêche les habitants à l’année de se loger ?

    En février 2022, le Gouvernement a demandé la mise en place d’une mission interministérielle afin d’évaluer les tensions sur les marchés du logement dans les zones touristiques (à l’exclusion des métropoles) et d’identifier les dispositifs permettant de lutter contre l’éviction dont sont victimes certains ménages actifs, notamment les moins aisés, pour accéder à une résidence principale sur ces territoires tendus.
    En dehors de mesures destinées aux collectivités, le rapport préconise trois évolutions pour les locations meublées : 
    Appliquer à toute location de logement les critères de performance énergétique.
    Rendre la fiscalité des locations meublées moins attractive.
    Ouvrir la possibilité pour toutes les communes de mettre en place une réglementation du changement d’usage (ce qui ne signifie pas une interdiction).
    Le rapport identifie de nombreuses autres pistes et le fait que la mise en place de régulations, qui sont autant de restrictions à des droits fondamentaux, doit s’appuyer sur des éléments factuels et objectivés.
    Indépendamment des recommandations du rapport, il est assez probable qu’à moyen terme tous les logements, quel que soit leur usage, soit soumis aux critères de performance énergétique, réchauffement climatique oblige.
    Même si les revenus des locations meublées sont plus lourdement imposés, il sera toujours plus intéressant de les percevoir que de s’en priver.
    Enfin, si un propriétaire souhaite garder l’usage de sa résidence secondaire, quel est l’intérêt pour une commune de privilégier sa vacuité, en interdisant le changement d’usage, plutôt que de privilégier les retombées économiques du tourisme, qui sont de plus en plus régulières tout au long de l’année ? 
     

  • Comment gérer les éventuelles dégradations ?

    Elles sont couvertes, dans un premier temps, par la caution du locataire, qui est enregistrée lors de la réservation. Les problèmes sont rares, car il est maintenant possible d’informer les plateformes de réservations de l’indélicatesse de certains locataires.
    Sérénissime a choisi la solution Swikly :  la demande de caution n’est pas débitée et n’impacte pas le plafond de carte bancaire des voyageurs. En cas de dégradations, Swikly permet d’encaisser tout ou partie de la caution en quelques clics.
    En fonction des dommages, l’assurance du bien pourra également intervenir.
     

  • Qui paye les charges (chauffage, eau, électricité) ?

    Elles ne sont pas facturées en plus du coût du séjour, elles y sont intégrées.
     

  • Comment assurer une location saisonnière en tant que propriétaire ?

    Il est possible de souscrire plusieurs types de garanties pour être couvert contre les risques locatifs :
    Une assurance propriétaire bailleur non occupant ou PNO : les assurances Propriétaire Non Occupant présentent de nombreux avantages pour assurer le logement dans le cadre de locations et en indemniser les occupants.
    Une garantie recours des locataires contre le propriétaire : cette garantie protège les propriétaires lorsque le manque d’entretien d’un bien immobilier est à l’origine d’un dommage subi par un locataire. La garantie vient par exemple prendre en charge les dommages causés par un mauvais entretien des canalisations.
    Une assurance dite au bénéfice de n’importe quel locataire : ces contrats assurance habitation spécifiques peuvent offrir des garanties à tous vos locataires.
    Pour aller plus loin : merci de solliciter votre assureur pour connaitre ses prérogatives.
     

  • Pourquoi mettre mon bien en location courte durée ?

    La location courte durée a trois avantages :
    Elle ne vous prive pas de la jouissance du bien quand vous souhaitez l’occuper pendant vos vacances, à la différence de la location longue durée.
    Elle permet d’obtenir un complément de revenu avec une meilleure rentabilité que la location longue durée, les loyers étant plus élevés. Ils s’accompagnent toutefois d’un risque de vacances locatives plus important. Celui-ci est également lié à l’attractivité touristique du bien. En revanche, le risque de défaut de paiement disparait car la location en meublé de tourisme prévoit le prépaiement.
    Elle permet à votre hébergement d’être occupé et entretenu toute l’année, sans connaitre de longues périodes de vacuité, qui pourraient lui être préjudiciable sous le climat breton.
     

  • Quelle sont les perspectives de revenus ?

    Il est impossible de répondre précisément à cette question sans bien identifié. En effet, son emplacement, sa dimension et son équipement vont influer sur la politique des prix.
    On peut cependant se référer à la fréquentation moyenne des meublés de tourisme sur notre territoire :
    fréquentation
    Ce graphique démontre l’importance de la basse saison (51% des nuits louées le sont d’Octobre à Avril) et de la capacité d’accueillir de courts séjours.

  • Quelles sont les obligations administratives ? 

    Les obligations administratives sont peu nombreuses et gratuites :
    Une inscription au répertoire Sirène de l'Insee.
    Une déclaration du meublé de tourisme en mairie à l’aide du formulaire cerfa n°14004.
     

  • Qu’en est-il de la fiscalité ?

     
    D’un point de vue fiscal, les revenus issus de la location saisonnière bénéficient du même régime que la location de tout logement meublé.
    Ces revenus sont soumis à l’impôt sur le revenu et leur modalité d’imposition dépend du montant de vos recettes annuelles :
    Pour des recettes annuelles inférieures à 72 600 € HT, vous pouvez choisir entre le régime réel ou le régime dit « micro-BIC ». Ce dernier, plus simple, vous permet de bénéficier d’un abattement automatique de 50 % sur vos revenus locatifs.
    Pour des recettes annuelles égales ou supérieures à 72 600 € HT, vous devez opter pour le régime réel et pouvez déduire l’ensemble de vos charges selon les dépenses réellement engagées.